Notre secteur est menacé de disparition dans un avenir très rapproché. Le nombre de nos membres ne cesse de diminuer (en 2008-140 et 2019-111) et la moyenne d’âge (environ 76 ans) des membres augmente graduellement. Est-ce qu’on pourra combler les postes vacants au conseil sectoriel au cours des deux prochaines années? Est-ce qu’on pourra continuer à soutenir nos actions bénévoles (Chœur Joyeux, banque alimentaire. Etc.…)?
Depuis la formation du FAE dans la région de l’Outaouais en 2007, nous avons très peu de nouveau membres et il est fort peu probable, si la réglementation de l’AREQ ne change pas, d’avoir dans l’avenir de nouveaux membres.
Lors d’une rencontre des conseils sectoriels de quatre régions de l’AREQ au Mont-Tremblant, nous avons eu l’occasion de parler au directeur général, Dominique Provost, et à la première vice-présidente, à propos des problèmes des petits secteurs surtout dans les régions maintenant couvertes par la FAE depuis 2007.
On nous a dit de soumettre des propositions dans ce sens. Puisque ces changements demanderaient des modifications aux statuts et règlements, entre autres au niveau des personnes amies. Notre secteur et celui du Lièvre ont envoyé des lettres au président de la région avec des pistes de solutions à transmettre au régional et au national.
Sans des modifications de ce genre, nous allons directement vers un mur à très court terme, c’est-à-dire, une impossibilité de former un conseil sectoriel pour notre secteur. Je pense que déjà l’an prochain, il sera difficile de former l’exécutif, à moins que les règles ne changent.
Nous pourrions nous fusionner avec le secteur du Lièvre, mais ces derniers vivent les mêmes problèmes que nous, et avons-nous les mêmes préoccupations? Nous croyons que cet élément nous amènera aussi vers le mur.
Si vous avez des pistes de solutions, nous les faire parvenir. Il est primordial que vous nous aidiez à trouver des solutions à très court terme et à long terme.